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Remembrances#18

Te souviens-tu du jour où tu m’avais dit Cette porte cochère me fait trop envie !

Je venais de te retrouver Gare du Nord à Paris et c’était la première fois que nous étions face à face, en chair et en os. Notre histoire avait commencé sur Internet. Très vite nos phrases s’étaient enchaînées et nous avec. Des heures durant devant nos ordinateurs, nous plongions avec délice dans cette découverte de l’évidence. Comme plus de 700 km nous séparaient, se retrouver à Paris nous avait semblé la solution la plus simple. Retrouvailles hésitantes dans la salle des pas perdus. Pour toi comme pour moi, passer de l’écran à la réalité était une nouveauté absolue. Mais le courant était passé, en vrai. Des bises un peu timides, un bras effleuré tout en prenant un café, et puis tu avais soupiré Il est loin notre nid de luxure ? Sur le chemin de l’appartement prêté par un ami, tu as glissé ta main sous mon imper. Tes caresses sur mes fesses disaient assez ton impatience. Lorsque tu as vu cette entrée d’immeuble Haussmannien tout en sculptures tarabiscotées, tu n’as pu te retenir de m’attirer sous ce porche propice. Nos langues se sont mises à danser la gigue dans nos bouches réunies et tes doigts se sont glissés dans ma braguette. J’ai passé les miens sous ta jupe et ta culotte était déjà trempée. J’ai enfoncé mon majeur dans ta chatte palpitante pour te fouiller sans retenue. Ma verge était dure et entre deux gémissements, tu m’as dit j’ai envie que tu me prennes. Alors je t’ai retournée face au mur, j’ai mis ton cul à nu et je me suis glissé en toi. Ta fente était un vrai brasier et tu me tendais tes fesses pour que je vienne au plus profond. Je te branlais le clito en même temps que je te labourais. Nous allions jouir au moment où une porte s’est ouverte sur une mamie qui sortait son chien. Et tu m’as dit Vite, filons, on va continuer ailleurs.

J’ignore bien sûr si tu te rappelles de tout ça. Mais moi oui, je m’en souviens encore.

6 réponses sur « Remembrances#18 »

La porte cochère… Merci de nous l’avoir ouverte pour nous en faire profiter, mon cher Jules. Un pur régal que cette remembrance, comme toutes les autres aussi d’ailleurs. Vivement la 19ème…

« nos phrases s’étaient enchainées et nous aussi…dans cette découverte de l’évidence » Merci Jules pour cette rencontre « évidente » jusqu’à la cambrure de ce cul offert.

Qu’il a fait chaud tout à coup… une fois encore en te lisant… et pas que chaud… Tes Remembrances me manquaient.
Ah cette mamie…🤣

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