Catégories
à deux en public jeux humides

Pipi dans les dunes

Comment avons-nous commencé à échanger sur les réseaux ? Impossible de me souvenir. C’était il y a quelques années de cela et nous fréquentions le même site de rencontre.

Très vite, le courant était bien passé entre nous. Même si tout aussi rapidement, il avait fallu se rendre à l’évidence que les chances de se rencontrer un jour se mesuraient en millimètres. La différence d’âge – plus de trente ans ! – ne paraissait pas un problème pour toi. Ça l’était un peu pour moi et cela te faisait rire. La distance géographique semblait beaucoup plus compliquée. Nous habitions à des centaines de kilomètres l’un de l’autre, hors des liaisons express par train ou autoroute. Pourtant, jour après jour, nous avions pris l’habitude de papoter tôt le matin et tard le soir, lorsque ton mari dormait. Une belle complicité germait et nous n’en savions rien. Nous profitions pleinement de nos instants secrets.

Progressivement, je suis devenu ton confident privilégié. Un truc entre l’amant impossible et le bon pote à qui on peut tout raconter. Ceci d’autant plus facilement que nous étions protégés par nos écrans. Nos conversations devenaient chaque jour plus intimes. Cela nous réjouissait. Personne ne jugeait personne, et tu m’avais dit une fois que j’illuminais tes jours. Cela m’avait touché.

Bien entendu, je t’encourageais à trouver dans les bras d’un autre le plaisir et l’affection que tu ne trouvais plus avec ton mari de plus en plus indifférent à ce que tu étais vraiment. Il y avait sans doute encore beaucoup d’amour et d’affection entre vous deux. Trente ans de mariage, deux grands enfants, normal. Mais il n’avait jamais compris certains aspects là de toi que tu n’avais jamais osé exposer en plein jour. Ton côté exhibitionniste. Tes envies irrépressibles de baiser pendant une randonnée en montagne. Tes rêves de partages sensuels à plusieurs. D’autres fantasmes encore dont tu ne voulais rien dire.

Un jour, tu m’as annoncé avoir trouvé l’amant de tes rêves. Un libertin assumé, beau mec, un peu plus jeune que toi et qui habitait à une petite heure de TGV. Tu avais profité d’un stage professionnel pour le retrouver et tu m’as tout raconté au téléphone. Ta voix vibrait encore de toutes les émotions ressenties pendant cette journée de folie.

La rencontre à la gare. Les sourires échangés et tout de suite, le premier baiser. Tu avais ôté ta culotte dans les toilettes du train et de sentir tes fesses nues sous ta robe légère t’avait retourné les sens. Vous aviez convenu de prendre un café avant de décider si vous iriez plus loin. Il t’avait parlé d’un love hôtel non loin de la gare, au cas où. Les tasses n’étaient pas terminées que déjà, vous saviez. Comme dans un rêve éveillé, tu l’avais suivi jusqu’au parking et il t’avait fait jouir une première fois sur le siège avant de sa voiture. Tu l’embrassais avec passion pendant qu’il te doigtait la chatte et à ta grande surprise, un véritable geyser avait jailli d’entre tes cuisses. Jamais tu n’avais joui ainsi. Il avait ri de ta gêne et t’avait rassuré.

Sitôt la porte de la chambre refermée, il t’avait collée au mur et de nouveau, tu avais coulé sur ses doigts. Accrochée à son cou, tu sanglotais de bonheur. Plus encore lorsqu’il t’avait porté sur le lit et qu’il avait enfoui sa tête entre tes jambes. Tu dégoulinais encore, tu avais protesté que ça devait être sale, mais il s’en moquait, avide de te boire et de te faire jouir toujours plus fort. Trois fois il t’avait laissée pantelante sur les draps auréolés de tes fluides. Tu te sentais détendue comme jamais, épanouie et prête à tout. Lorsqu’il avait baladé son sexe tendu sur ta fente en s’attardant plus bas sur ton œillet palpitant, tu lui avais souri en murmurant de venir en toi. Tu voulais aussi par là. Tout en douceur, il t’avait pénétré et tu avais adoré cette sensation d’être à la fois écartelée et investie par ce membre de chair dure.

Plus tard, sous la douche, il s’est mis à pisser le plus naturellement du monde. Alors sans la moindre hésitation, tu t’étais emparée de son sexe pour diriger son jet vers tes pieds. C’était troublant, intime et chaud. Tu en rêvais depuis si longtemps ! Mais jamais ton mari ne t’avait laissé faire.

Tu t’es inquiétée de savoir si ce dernier épisode m’avait choqué. Je t’ai rassuré bien sûr. Déjà, il m’en aurait fallu beaucoup plus, et puis, cela faisait plutôt partie des fantaisies que j’appréciais. Cela t’avait fait rire. Alors tu m’avais demandé de te raconter mes aventures humides et tu gloussais en imaginant les scènes.

Et puis je suis tombé malade et tu t’inquiétais pour moi. Rien de grave pourtant. Mais tu n’aimais pas me savoir seul chez moi. Alors pour me distraire, tu m’envoyais des photos de toi plus ou moins dénudées. Ou des courtes vidéos de tes jouissances. Souvent prises par ton amant lorsque vous vous rencontriez. J’étais assez voyeur pour apprécier tes exhibitions. Nous nous complétions à merveille.

Tu te sentais de plus en plus libre, avec lui comme avec moi. Tu vivais avec cet amant des moments de partage sensuel intense, à deux mais aussi à plusieurs, avide de goûter à tous les fruits que tu t’étais défendus des années durant. Avec lui, aucune jalousie. Aucun sentiment de possession ou d’appartenance. Et lorsque tu me racontais tes aventures, c’était entre nous de beaux moments de partages et de complicités heureuses. Tu devenais joyeuse, taquine, mutine…. libre et légère. Et cela te plaisait autant qu’à moi

Un jour d’été, tu étais à la plage avec ton mari et tu m’avais envoyé quelques clichés de toi en maillot de bain. Un bel ensemble blanc qui mettait bien en valeur le galbe de ta poitrine et la rondeur de tes fesses. Des photos très sages. Pas question de pratiquer le naturisme à ses côtés comme tu en rêvais depuis si longtemps, même si le lieu aurait pu s’y prêter. Un peu plus tard en fin de journée, tu m’avais envoyé un texto en m’invitant à regarder ma boîte mail. Tu me précisais de faire vite.

Un fichier vidéo m’attendait bien sagement dans ma boîte de réception. Le titre, Pipi dans les dunes, annonçait la couleur. Tu t’étais arrangée pour poser ton smartphone au sol et l’objectif te cadrait en train de relever ta robe rouge à pois blanc, celle que tu aimais tant, et de t’accroupir face à l’objectif. Dans le haut de l’image, on ne voyait que ta bouche entrouverte.

D’une main, tu as écarté ton bas de maillot, dévoilant la fente de ton sexe épilé. Quelques gouttes d’urine sont venues se perdre dans le sable, bientôt suivies d’une jolie cascade qui a manqué de mouiller tes sneakers. Tu as écarté un peu plus les jambes, pas facile de rester en appui visiblement, et plus ton urine coulait, plus ton sourire lumineux envahissait l’écran. Un vrai sourire de gamine ravie de son audace. Une fois tombées les dernières gouttes, tu as remis ton maillot en place, tu as repris son téléphone en main et tu l’as dirigé plein cadre sur son visage. Tu m’as tiré la langue en souriant d’un air mutin avant de m’envoyer un baiser… et puis tu as coupé.

Ces trente secondes de vidéo, je les ai précieusement conservées dans un dossier verrouillé de mon ordinateur. Avec toutes les autres photos intimes que tu m’as envoyées au fil du temps. Cela remonte à des années maintenant. Mais de temps en temps, je lance la vidéo et j’ai toujours le même plaisir à voir ton sourire réjoui alors que tu te regardes pisser et qu’à la fin, tu m’envoies ton bisou complice.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.